Biographie Arthur Omar Kayumba

Arthur Omar KAYUMBA, né le 16 Juin 1991 à Goma en République du Zaïre, l’actuelle RDC, est un écrivain de littérature militaire et analyste de questions de diplomatie et de sécurité. Il est Congolais en nationalité et en citoyenneté d’origine, de père , de mère et des arrières arrières grands-pères et grands-mères bantous.

Il est également lauréat du trophée du meilleur jeune de l’Afrique Centrale en 2022 et breveté du Diplôme d’honneur et de Mérite de la RDC.

Son père c’est le feu Jean Omar Ngwen’a Wakilongo reconnu pour son activisme dans le Mouvement Populaire de la Révolution, et sa mère c’est Régine Kabwe Nyota.

Études

Arthur Omar Kayumba fait ses études primaires à l’école des déshérités de Goma ensuite ses études secondaires à l’Institut Majengo et à l’Institut Ndahura.

Il fait le Droit International Public à l’Université de Kinshasa et d’autres formations complémentaires l’académie de l’engagement civique à l’Université de Georgie aux Etats Unis , la Gestion des organisations à African Management Instititute de Johannesbourg, Public Management de YALI-RLC à Kenyatta University et la diplomatie publique au Collège des Hautes Etudes en Politiques Publiques.

Engagement social et carrière professionnelle [modifier | modifier le code]

Arthur Omar Kayumba commence sa carrière et son engagement civique à l’âge de 12 ans. Il a été pour résumer :

  • Rapporteur de la Commission Education, avant d’être le Rapporteur Provincial du Parlement d’Enfants du Nord-Kivu,
  • Délégué de la Jeunesse Sans Frontières,
  • Président du Comité Provincial des Enfants du Nord-Kivu,
  • Ambassadeur des enfants,
  • Président National du Parlement des Jeunes de la RDC,
  • Délégué Biannuel de l’Assemblée Nationale de la RDC au PFJ Assemblée Parlementaire de la Francophonie,
  • Délégué Pays et continental des Ambassadeurs de la France – Actuel Institut de Géopolitique Appliquée,
  • Chef du Département des Affaires Etrangères du Parlement Africain de la Jeunesse,
  • Candidat malheureux aux postes de : porte-parole de la jeunesse Francophone de l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie, et candidat invalidé au poste du Président du Conseil National de la Jeunesse de la RDC,
  • Facilitateur du Cadre de Concertation des Jeunes des Partis Politiques et de la Société Civile,
  • Rapporteur du GTT Forces Armées ,
  • Rapporteur Général du Cadre de Concertation National de la Société Civile de la RDC.

Vie littéraire :

 Il est auteur de plusieurs livres et travaux. Les plus récents de ses œuvres sont dédiés à la refondation de l’Etat et au redressement national on citerait par exemple les livres :

  1. Les mémoires du triomphe et du déclin de l’Etat-Nation ;
  2. Le Pouvoir-Financier d’un Etat moderne ;
  3. Enjeux militaires contemporains et géostratégie du cyberespace : de l’autonomie stratégique des forces armées de la RDC ;
  4. Autopsie de la diplomatie Rwandaise : génocide à sens inique, manipulations et influence.

Distinctions et honneurs :

Lauréat de plusieurs trophées, Arthur Omar Kayumba a obtenu

  1. Les prix de 100 jeunes porteurs d’espoirs de la RDC, 2
  2. Le prix des 50 jeunes les plus influents de la RDC,
  3. Prix des droits de l’homme 2021,
  4.  Reconnaissance Présidentielle de la Masculinité positive,
  5. Nominé par Afrique Intelligence parmi les 7 jeunes Africains influents du futur.
  6. Deux fois prénominé par le département d’Etat comme l’un des jeunes les plus dynamiques de la société civile dans le Monde,
  7. Trophée du Self-Appointed King  à Kenyatta University, YALI-RLC Public Management Cohort 5,
  8. Nominé troisième jeune distingué de l’Afrique en 2022,
  9. Nominé meilleur jeune de l’Afrique Centrale en 2022,
  10. Diplômé d’honneur et de mérite du Conseil National de la Jeunesse,
  11. Diplômé de Dignité du Parlement des Jeunes de la RDC.

L’homme providentiel,  de l’ombre et de la lumière, mais qui est le  citoyen  KAYUMBA ?

Né au lendemain de la guerre froide et au soir du grand Zaïre, Arthur Omar KAYUMBA est fils de Madame Régina KABWE NYOTA et du feu Jean – Omar Ngwen’a.

Piégé par son destin, l’environnement dans lequel il vient de naitre connait des impacts de la chute du rideau de fer. Rien n’est moins sûr, car la psychose est généralisée, l’issue de ce petit Zaïrois de père et de mère devient incertaine. Le Zaïre s’effondre, la région des grands lacs est en ébullition, c’est la guerre dite de libération conduite par Laurent Désiré Kabila. Les fumées des projectiles, des missiles, des canons et des orgues de Staline couvrent le ciel au-dessus   des lacs Kivu et Tanganyika. En ce moment précis Arthur Omar Kayumba est malade, il venait de connaitre un accident à la jambe gauche  dans un véhicule de son père, mais il n’y aucun choix, il faut quitter la ville, les combats sont acharnés entre les forces armées Zaïroises, les rebelles et la coalition internationale  de l’AFDL et les Mai-Mai s’affrontent violemment.

A la fin de la guerre, et au début de la rébellion du 2 Aout 1998, le jeune KAYUMBA, sa maman et ses frères rentrent en ville sans leur très influent père, il était parti en voyage. Mais pour le jeune Zaïrois, le traumatisme est vibrant : il venait de ramasser des mines anti-personnelles – les ayant confondu aux jouets – qui ont raté d’exploser entre ses mains, il joue avec des AK-47 abandonnées ça là, il venait de marcher sur des corps décédés et placés le long de l’unique chemin de retour ; et surtout beaucoup de membres de famille du jeune KAYUMBA sont décédés. Les enfants errent çà et là,  car ils sont soit orphelins, soit en séparation familiale, soit enfants soldats, soit vulnérables, etc.

Ce sombre tableau de l’après-guerre va bouleverser le présent et le futur du jeune Arthur Omar KAYUMBA né seulement le 16 Juin 1991.

Il débute ses études primaires dans une école des enfants déshérités de l’après-guerre, il devient porte-parole des enfants victimes de la guerre (en séparation familiale, enfants orphelins, démunis etc.) C’est à 10 ans précisément que la ville de GOMA découvre et entend pour la première la voix du jeune KAYUMBA à la radio officielle, où il plaide la cause universelle des enfants auprès du comité international de la Croix-Rouge et du gouvernement rebelle du RCD. La suite aura été spectaculaire car il obtient de prix, entre au Parlement d’Enfants, au comité des enfants, à la jeunesse sans frontières etc. Son engagement est combiné à son parcours scolaire qui reste brillant.

Quand il a 16 ans, il est à la tête d’une grande marche de plus de 4.000 enfants à Sake qui réclamaient la démobilisation des enfants soldats par les groupes armés et forces négatives. A la même période à la tête d’une grève des élèves de la ville de Goma pour revendiquer la baisse des frais scolaires … Ayant commencé à représenter les enfants déshérités, il est devenu rapporteur du Parlement d’Enfants du Nord-Kivu avant d’être président du comité provincial des enfants du Nord-Kivu, une province dont il n’est pas originaire. Il finit son engagement en faveur des enfants avec rang d’ambassadeur des enfants.

Ancien ambassadeur des nations unies pour l’inclusion financière des jeunes (UNCDF #BankTheYouth), ancien représentant de l’Assemblée Nationale de la RDC au Parlement Francophone des Jeunes, président sortant du Parlement des Jeunes de la RDC et ancien rapporteur général du Cadre de Concertation National de la société civile de la RDC, Il a aussi été délégué des Ambassadeurs de la Jeunesse et Chercheur associé à l’Institut de Géopolitique Appliquée France.  Arthur Omar Kayumba a été sans doute un des hommes providentiels abrité à la fois dans l’ombre et la lumière.

Juriste et diplomate de formation, Arthur Omar Kayumba , pour son cursus académique et du leadership est passé par l’Université de Kinshasa, Kenyatta University de Nairobi , University of Georgia US, African Management Initiative de Johanesbourg, HS-Public policies Nairobi etc.

Invité par l’ancien président de la République Joseph Kabila pour représenter les jeunes aux concertations nationales, Arthur Omar Kayumba est surtout invité par l’actuel Président de la République Félix Tshisekedi pour représenter la jeunesse d’abord aux consultations nationales ensuite au sommet des chefs d’Etats Africains sur la masculinité positive.

  • Vie littéraire :

 Il est auteur de plusieurs livres et travaux. Les plus récents de ses œuvres sont dédiés à la refondation de l’Etat et au redressement national on citerait par exemple les livres :

  1. Les mémoires du triomphe et du déclin de l’Etat-Nation ;
  2. Le Pouvoir-Financier d’un Etat moderne ;
  3. Enjeux militaires contemporains et géostratégie du cyberespace : de l’autonomie stratégique des forces armées de la RDC ;
  4. Autopsie de la diplomatie Rwandaise : génocide à sens inique, manipulations et influence.

Parmi ses travaux de recherche on citerait par exemple : les algorithmes oubliés de l’intelligence artificielle : infocalypse et liberté ; comment l’Amérique nous regarde ; comment la Chine nous regarde etc. Disponibles au mémorial des combats sur www.ambassadeurkayumba.wordpress.com

  • Prises de position :
  • A propos de la guerre Rwandaise en RDC :

Le Président Kagame du Rwanda n’est en rien un fin-stratège militaire moins encore un guerrier redoutable comme il tente désespérément de nous le faire croire. La pseudo-superiorité tactique de RDF via le M23 repose sur la corruption des quelques officiers cupides intervenant tant au niveau tactique qu’opératif, et le double jeu des officiers d’expression Rwandophone.

Deuxièmement les FARDC sont dépourvues d’une unité spéciale de projection en montagne… Situation qui exacerbent le plus souvent cette sorte d’hybridité et d’asymétrie des combats.

Et de toutes les façons,  le ravitaillement des terroristes du M-23 par le Rwanda va s’amoindrir et cesser de soi-même, étant donné que le peu d’armes et munitions héritées des opérations Franco-Rwandaises au Mozambique tendent à s’épuiser, et qu’il serait dangereux et coûteux pour Kagame de toucher au stock de la survie Rwandaise.

Entre-temps, le consensus se dégage de plus en plus dans les couloirs diplomatiques encourageant une transition au Rwanda sans Kagame, telle que soutenue par le Commandant suprême des FARDC et de la PNC,  le Président Félix Tshisekedi.

2. A propos de la doctrine militaire :

La recrudescence et la prolifération cacophonique des groupes armés et des forces négatives en RDC continuent à démontrer de façon spectaculaire que les principaux défis de sécurité sont paradoxalement influencés par d’inombrables reformes baclées de nos forces armées exécutées en bi et multilatérales », a regretté l’Ambassadeur Arthur Omar Kayumba dans une réflexion.

Selon lui, « en faisant consommer à l’armée nationale diverses réformes par plusieurs pays aux doctrines militaires divergeantes, le pays se retrouve dépourvu de sa propre doctrine militaire. Une débandade manifestement créée à des fins hégemonistes proches de la diplomatie militaire transformationnelle brutale qu’il subit (RDC)« .

Pour lui, l’enjeu n’est donc plus d’agir sur le démentelement des groupes armés et forces négatives mais sur les relations et les alliances avérées qu’entretiennent les FARDC avec ces derniers (groupes armés) dans certaines situations.

« C’est là qu’intervient l’incapacité du gouvernement à organiser soit le désarmement et soit le cantonement« , dénonce-t-il.

« Même lorsque certains groupes armés auront manifesté leur intention de désarmer, les moyens de leur intégration dans l’armée et/ou de leur réintégration dans la vie civile, feront défaut« , prévient l’ambassadeur.

Ce qui le pousse à préconiser que le pays ait sa doctrine de défense. « Il nous faut une nouvelle doctrine de la défense« , martèle l’Ambassadeur Arthur Omar Kayumba dans sa réflexion.

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3. A propos du triomphe du front Est :

D’un moment à l’autre le drapeau tricolore étoilé de la République va de nouveau flotter à Bunagana, et dans les autres territoires perdus de la République.

J’encourage les communautés vivant dans les zones des hostilités à prêter mains fortes à nos forces tant en opérations qu’en renseignements.

Après la guerre nous nous souviendrons de nos vrais amis et de ceux de nos compatriotes, qui ont manifesté leur sentiment d’appartenance à la mère patrie, la RDC.

Nous nous souviendrons aussi de nos vrais amis et nous serons très sélectif dans le cadre de notre future politique étrangère.

Nous nous souviendrons des morts, des vies gâchées et biens perdus, mais surtout nous donnerons la chance de vie aux vivants.

Le front EST, le front du triomphe contre tous.

Petit à petit nous récupérons le territoire perdu de la République,bunagana et ailleurs.

Nos forces armées de la RDC démontrent ce dont elles ont toujours été capable de faire, une puissance de feu, a déclaré ce ancien président du parlement des jeunes congolais.

Si, d’une part le front EST sera bientôt gagné, d’autre part nous resterons vigilants sur la versatilité de la République Centrafricaine qui clairement semble du côté du Rwanda, et pourrait tenter de déstabiliser le territoire de la République en offrant un couloir au Rwanda poursuit Arthur Kayumba Omar.

Celui-ci n’a pas caché sa crainte du déplacement du Président Centrafricain Faustin-Archange Touadéra à Kigali pour rencontrer son beau-frère Paul Kagame le Président du Rwanda, au lendemain du sommet de la CEEAC, jusqu’à le qualifié l’amicale et complicité.

Voilà pourquoi nous allons nous assurer de capitaliser notre médiation dans la crise Tchadienne , et si à l’occasion notre intervention militaire arrivait à être sollicitée au Tchad en interposition pour la protection des populations civiles, nos FARDC se tiendront prêtes estime-t-il.

243 Milliards des raisons pour soutenir nos forces armées FARDC LéopardsArmés. A conclu Arthur Kayumba Omar.

4. Atteindre les buts du panafricanisme :

Encore une fois ZLEC vient encore symboliser l’exploitation de l’homme par l’homme. Elle constitue en soit un instrument d’arnaque et de prédation pour certains Etats au détriment des autres. ZLEC vient à un moment ou les exportations entre Rwanda et l’Uganda se sont pratiquement interrompues en raison de leurs crises diplomatiques, une situation qui a impacted négativement les deux économies. Ensuite, la première économie Africaine le Nigeria n’est pas partie prenante à la ZLEC, pas besoin de vous rappeler que la Guinee Conakry Elle aussi avait refusé d’intégrer l’accord. En plus, toutes les economies africaines ont toutes des balances commerciales déficitaires, seuls 7 pays présentent des balances commerciales résilientes. Par ailleurs pour aboutir a une union monétaire, ca risque de relever de l’impossible avec le fonctionnement actuel essentiellement paternaliste de la zone des FCFA, En plus calculez la valeur monetaire Dr Dinars Maghrebien par rapport aux CFA, ou shillings Est-Africain, ou aux Francs Congolais ,…il existe des écarts qui ne faciliteront pas si facilement l’union monétaire….Je suis d’accord, qu’en principe ZLEC constitue un ideal pour améliorer la balance commerciale du continent dans le commerce international,Mais nous ne pouvons y arriver tant qu’il y a des divergences a l’interne et des deficits considerable. Remarquez : croyez-vous qu’un Etat qui n’a rien à exporter dans le commerce intra-africain (par ce que ne produisant rien) acceptera de supprimer des droits des douanes aux importations, alors qu’il ne produit rien ? Même si c’est interafricain, cet Etat sera simplement anéanti au plan budgétaire, et affaibli économiquement C’est pourquoi c’est trop théâtral pour l’UA d’aller vers un projet économique et commercial, sans un préalable fondamental, qui n’est rien d’autre qu’un projet politique concret, qui devra transcender les constitutions des Etats et le fameux acte constitutif de AU. ZLEC est allée vite en besogne. Si l’UA s’en fout de son avenir politique, au moins la simple des choses aurait été de commencer progressivement par les commerces transfrontaliers et la création des marches communs d’integration. Nous vivons encore le protectionism dans certains pays. Mais dans tout Ca il faut d’abord un projet politique. Voyez par exemple le marche commun East Africa, vous pouvez circulez sans visas et avoir la levée des barrières douanières, mais en l’absence d’un projet politique les Etats s’affrontent et réduisent la chance d’atteindre le bonheur interieur brut et une croissance inclusive perreine … Nous avons des cas similaires ECOWAS.

5. A propos de l’unité nationale.

Aux élites cupides, citoyens ethniques et cerveaux non-alignés, aussi longtemps qu’au plus profond de nos aspirations vibreront les idéaux de la République reflétés dans cet horizon d’une nation plurinationale, puisque sans le vouloir, bâtie sur un destin multicolore, ce pont d’entrée et de sortie du monde et de l’histoire, notre histoire sexagénaire de vie commune ne sera ni défaite ni bannie. Puisqu’en chacun de nous, membre de la cité nationale, coule l’âme Zaïroise, celle triomphante dans une flamboyance mono-stellaire, auréolée de l’unique espérance : bâtir dans la justice, la paix et le travail, pour la grandeur, la puissance et la dignité, une nation séculaire et plus prospère pour ceux du présent et du future. Telle la marche inexorable des citoyens libres, visionnaires et solidaires, délivrés des chaînes du triomphalisme ethnique, des velléités suicidaires et de revanche.

  • Œuvre :

 Entant qu’acteur du changement, Kayumba est surtout présent dans les dynamiques  visant la consolidation de la démocratie parlementaire , sur son actif figurent plusieurs avant-propositions de loi : dont celles relative à la société civile, celle portant autorisation de port d’armes à feu par les familles civiles vivant dans les zones en conflits, celle portant protection cybernétique des enfants, celle révisant la loi sur les violences sexuelles relative à la majorité sexuelle de la jeune fille etc. 

Arthur Omar Kayumba a pendant plus de cinq participé au processus de démobilisation et de réinsertion des ex-enfants soldats.

Il a mis fin aux malversations financières autour de la présidence Congolaise de l’Union Panafricaine de la Jeunesse.

Grace à sa plainte déposée à Melbourne contre l’Etat Congolais et la société Australienne Fortescue Future Industries, les négociations ont repris entre les deux parties en vue de la modification de la convention de développement des industries vertes sur le Grand Inga.

Sous son leadership centres de jeunesse ont été construits par ActionAid dans les territoires de NYIRAGONGO au Nord-Kivu et d’IDJWI au Sud Kivu. Construits dans ces territoires à titre pilote en raison de leur caractéristique de vulnérabilité post-conflit.

Il participe aussi activement à la construction du Bâtiment du Parlement d’Enfants du Nord-Kivu.

Sous son leadership un numéro vert d’assistance des enfants en situation de détresse a été opérationnel entre 2014 et 2016 à Goma et à Kinshasa.

Il participe activement à l’autonomisation des femmes prostituées et filles mères de Kinshasa.

Du point de vue leadership et développement personnel il est à la base de l’émergence de beaucoup des jeunes leaders en RDC et en Afrique.

Il mobilise des ressources humanitaires qu’il met à la disposition des enfants vivant dans les camps des déplaces à Mugunga et à Masisi en 2009.

  • Discographie
  • Distinctions :

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